CINÉMA CHRONIQUE - CRITIQUE

 

Whatever Works

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Sortie le 1 juillet 2009

 

 

Comédie de Woody Allen – Avec Larry David, Evan Rachel Wood, Ed Begley Jr, Patricia Clarkson – 1h32 – Sortie le 1 juillet 2009.

Boris Yelnikoff est un vieux acariâtre de surcroît intelligent qui a forcément un avis sur tout. Il habite à New-York. Un soir après avoir quitté ses amis que le supportent encore, il tombe nez à nez sur la jeune Mélodie Célestine qui demande l’hospitalité. Boris accepte pour une nuit qui va durer de long mois. Son entourage rigole de cette intrusion. Est-ce une question de sexe où de survie existentielle ?

Woody Allen revient filmer dans sa ville qu’il chéri depuis longtemps : New-York ! Ce scénario a été parait-il écrit dans les années 70. Ceci explique l’emmerdement que l’on éprouve après quinze minutes de projection. Le personnage Boris Yelnikoff est un moulin à paroles qui est insupportable ! On retrouve la névrose du réalisateur qui du temps de « Annie Hall » et « Manhatran » séduisait à merveille. Là « Whatever Work » est une daube ! J’ai faillit partir au bout de vingt minutes tellement c’était ennuyeux avec des dialogues qui tombent à plat. J’y suis resté, en espérant que ça allait s’améliorer. Pas du tout, puisque les clichés les plus démagogiques enfoncent le film. Ce qui m’étonne toujours dans les films de Woody Allen c’est l’absence de personnage noire. En tout cas, ici c’est flagrant ! Peut-être a-t-il tourné en Afrique du Sud pour limiter les frais. Boutade !

Phil Marso – 19 juillet 2009

POLAR HUMORISTIQUE DE PHIL MARSO - Ed MEGACOM-IK

 

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